La 4ème édition du Programme de formations aux métiers du numérique a officiellement démarré samedi 14 janvier dernier par l’initiateur du projet Rhudy Brolik Abourou. Ce sont près de 180 jeunes qui seront formés durant deux semaines afin d’avoir les rudiments nécessaires à la maîtrise de l’outil informatique et au montage des projets.

C’est en présence du représentant du parrain, de plusieurs invités et de nombreux jeunes pres-insctits que le coup d’envie de la 4ème édition du Programme de formations aux métiers du numérique a été donné dans une salle multi media d’une école supérieure de la place.
Plantant le décor, Rhudy Brolik Abourou a présenté les opportunités qu’offrent aujourd’hui les métiers du numérique, et a invité les apprenants à saisir l’opportunité qui leur offerte pour enrichir leur curriculum vitæ grâce aux connaissances qu’ils acqueriront durant cette formation. L’initiateur du projet n’a pas manqué de saluer au passage l’implication de Mathias Otounga Ossibadjouo, parrain de l’événement qui ne cesse d’encourager et soutenir de manière conséquente ce programme. Il a d’ailleurs exprimé toute sa gratitude au député du premier siège de la Commune d’Okondja, grâce à qui cette 4ème édition a été rendue possible.

Pour Hugues Séverin Balikidra représentant du parrain, « Mathias Otounga Ossibadjouo a toujours été soucieux de l’avenir des jeunes. C’est pourquoi il ne ménage aucun effort à soutenir les initiatives qui tendent à leur autonomisation. La maîtrise de l’outil informatique étant aujourd’hui indispensable quelque soit le domaine d’activité, c’est une aubaine offerte à ces nombreux jeunes qui pourront devenir autonome en créant leurs propres structures, quand d’autres ne seront plus des analphabètes modernes ».
Hugues Séverin Balikidra le représentant du parrain
La 4ème édition qui connait un engouement auprès des jeunes est composée de trois branches. L’infographie, la bureautique et le business plan. Pour l’avenir, l’initiateur du projet souhaite un appui particulier du gouvernement pour étendre ce projet dans les différents chefs lieux de provinces et pourquoi pas des département, histoire d’accorder les mêmes chances aux jeunes qui se sentent abandonnés à eux-mêmes dans l’arrière pays. Cet appel sera-t-il entendu ?
Christ Boli