
Alors que Guy Christian Mavioga bénéficie toujours de la confiance des plus Hautes autorités et qu’il relève de nombreux défis depuis qu’il est à la tête de la PIZOLUB, ses détracteurs ont plutôt choisi injustement à sa vie privée.
La vie privé d’un couple , balancée sur les réseaux sociaux par le canal d’un mercenaire du « Live » à qui on a livré un tas de mensonges afin que ce dernier, au prix d’un cachet apparement lourd, vienne insulter un père de famille qui assume avec brio la lourde mission de redressement d’une société qui était presque dans un coma.
Pourtant, Guy Christian Mavioga a su sortir Pizo Lub au bord du gouffre. Depuis qu’il a pris les rênes de cette entreprise parapublique, les salaire avant la crise sanitaire ont été payés sans retard. L’assurance maladie 100% a été rétablie. Des voitures de liaison ont été achetées aux cadres qui en avaient besoin . Une prime spéciale de soutien d’un montant de 1 Million a été instaurée pour chaque employé qui perdait un parent ou qui se mariait.
Sur un tout autre plan, la certification des produits PIZO est devenue une réalité. Après plus de 50 ans, le Gabon possède enfin sa propre marque d »huile moteur et industrielle grâce à la vision
Loin de faire une chasse aux sorcières et malgré les nombreuses magouilles décelées au sein de l’entreprise, des réseaux de détournements de produits et d’argent qui faisaient engraisser de nombreux cadres de l’entreprise, personne n’a été inquiété. Au contraire, ils ont été conservés postes de responsabilité, après un rappel à l’ordre.
Pendant que le monde de l’entreprise est en difficulté liée à crise du Corona virus qui impacte sérieusement les activites de PIZOLUB, pour deux mois d’impayés de salaire , au lieu de passer par une démarche légale et loyale qui pourrait être, au pire des cas , une grève, certains ont préféré solliciter les services d’un minable vendeur d’illusions pour détruire l’honneur d’un couple sur la base des histoires montées de toutes pièces.
A qui profite cette cabale organiser? Que peut on bien reprocher à Mavioga qui fait de son mieux pour la revalorisation de l’entreprise et du bien-être de son personnel? Ce serviteur loyal n’a pourtant pas signé un contrat de bail à vie pour demeurer à la tête de cette société. Il pourrait bien aller servir la nation ailleurs. Mais comme le dit un adage bien connu “”L’on sait qui on perd, mais l’on ne sait pas celui qui va arriver ». D’ailleurs, il serait mieux pour les détracteurs de Guy Christian Mavioga que le processus de vente PIZOLUB une affaire qui était presque actée ne se fasse pas après son départ avec les conséquences que nous connaissons tous .